2 thoughts on “BLOC OPÉRATOIRE VERSUS SOINS INTENSIFS : CONDITIONS D’INTUBATION

  1. Tout à fait d’accord avec la conclusion. Je pense qu’il faudrait distinguer les “voies aériennes difficiles” où la compétence de l’anesthésiste est primordiale, de “l’intubation difficile” qui comprend l’ensemble du processus avant, pendant et après l’intubation, pour lequel la mise en place du tube ne représente qu’une petite partie (et pas forcement la plus difficile). Je pense que l’intensiviste a une expérience différente et souvent solide sur ces cas où il ne suffit pas uniquement d’intuber mais de gérer la pré induction (notamment pré oxygénation), l’induction chez des patients parfois très instables HD, et surtout la post intubation avec le réglage du respi !

    1. Salut Xavier,
      Merci de ton commentaire.
      Pour préciser, il faut reconnaître que bon nombre d’anesthésistes sont parfaitement à même de gérer les situations les plus complexes.
      Mais au même titre que l’intensiviste réalise par essence beaucoup moins d’intubation que l’anesthésiste et qu’ainsi son aide peut lui être profitable, envisager un couple anesthésiste-intensiviste et ce même au bloc opératoire si c’est là que le patient est pris en charge et stabilisé, me semble être quelque chose à penser.
      Encore une fois, pour la forme, je précise qu’il n’y a pas de question d’égo ici et cette collaboration ne peut que servir la sécurité du patient.
      A bientôt.
      Alexandre.

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